Le groupement de la Défense

Les professionnels de la santé sont tenus d'annoncer/de soumettre à Swissmedic Pharmacovigilance (swissmedic.ch) les effets indésirables présumés liés à l’emploi d'un médicament (EI), ainsi que les défauts de qualité présumés (pour plus de détails sur le type d'EI à annoncer et les délais d'annonce, voir l'art. 63 de l'ordonnance sur les médicaments OMéd).

Le groupement de la Défense représente la colonne vertébrale qui planifie, dirige et administre l’Armée suisse. L’armée suisse contribue à prévenir la guerre et à maintenir la paix en Suisse.

Le commandant de corps Süssli est responsable pour la conduite de l'armée. Il dirige le domaine départemental de la Défense et est directement subordonné à la conseillère fédérale Viola Amherd, cheffe du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS).

Les officiers généraux de l’Armée suisse sont les militaires portant les grades de brigadier, divisionnaire et commandant de corps. Les titulaires qui figurent ci-après sont liés par un contrat de travail avec la Confédération suisse. Le général est élu par l’Assemblée fédérale dès qu’une importante levée de troupes est prévue ou décrétée. Les officiers généraux occupent des fonctions clés dans le commandement et les états-majors centraux.

Le monde est de plus en plus volatile, incertain, complexe et ambigu. De profonds changements sont à l’œuvre et il ne reste pas beaucoup de temps à l’armée pour assurer sa transition. La vision 2030 est une ambition commune qui anticipe ces changements multiples. Elle trace une image d’avenir de l’Armée suisse qui, au-delà de 2030, sera toujours la réserve de sécurité de la Suisse.

La diversité est une chance. La conduite de l'armée s'est prononcée à l'unanimité en faveur d'une culture de l'inclusion. Cela inclut toutes les dimensions de la diversité. Le mot d'ordre est : une armée suisse pour toutes et tous. A l'avenir, l'armée veut être encore plus efficace pour que chaque personne soit à la bonne place, indépendamment de sa religion, de sa langue ou de son sexe.

Les origines de la condition militaire suisse remontent à la fin du Moyen Âge. L’armée de milice reposant sur le principe du service militaire obligatoire est relativement récente.