Pourquoi la Suisse ne peut plus ignorer le Traité sur l'interdiction des armes nucléaires
Alors que la moitié des pays membres de l’ONU qui ont signé le Traité de 2017 sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN) se retrouvent à New York à l’occasion de leur deuxième réunion, la Suisse, qui est à l’origine de ce processus historique, reste sur son strapontin d’observateur. Une hésitation d’autant plus incompréhensible à l’heure où la menace nucléaire n’a jamais été aussi élevée.